Quand l’anarchie, le désordre, la précipitation, le remue-ménage, la cohue s’invitent dans l’improvisation, est-ce que cela reste jouable pour les comédien.nes et agréable pour le public ? La réponse est oui.
Ce chaos dans le jeu peut être vécu comme un espace de liberté pour les un.es ou comme un bazar dérangeant et illisible pour d’autres. Alors pour que tout le monde s’y retrouve, le bordel, ça se construit !